• Arnaldur Indridason, La cité des jarres, Points


    Un homme est retrouvé mort à son domicile de Reykjavik. Il a eu le crâne fracassé par un lourd cendrier en verre. En enquêtant l'inspecteur Erlendur se retrouve sur la trace d'un viol vieux de 40 ans. La police n'a pas été très efficace à l'époque, heureusement notre héros l'est beaucoup plus.

    Ce que j'ai particulièrement apprécié dans ce polar c'est l'ambiance islandaise. On est en octobre et il pleut 24 heures sur 24. Ceci dit la météo locale annonce des précipitations record et ces jours-ci j'ai parfois le sentiment de vivre en Islande. J'apprends que dans ce petit pays les gens n'ont pas de nom de famille et donc tout le monde s'appelle par son prénom ce qui donne l'impression que tout le monde se connaît, impression pas totalement fausse manifestement, confirmée par d'autres éléments.
     

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  • Commentaires

    1
    Mardi 10 Novembre 2009 à 12:00
    c'est vrai que les particularités de l'Islande ajoutent beaucoup au roman d'Indridason. Comme lorsqu'il parle des jours où le soleil ne se couche pas, etc.
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