• Jonathan Coe, Billy Wilder et moi, Gallimard

    Jonathan Coe, Billy Wilder et moi, GallimardLa narratrice, Calista, est une femme d’origine grecque d’une cinquantaine d’années qui s’inquiète au sujet de ses filles, des jumelles de 19 ans. Elle se remémore alors sa propre jeunesse quand, à peine âgée de 20 ans, elle a fait par hasard la connaissance de Billy Wilder qui l’a engagée comme traductrice sur le tournage en Grèce de Fedora, son avant-dernier film. Une expérience qui va marquer la vie de Calista.

     

     

    Nous suivons donc Calista qui découvre le cinéma, l’amour et le brie de Meaux. Les courts passages dans son présent de femme adulte sont de peu d’intérêt. Le récit est surtout l’occasion de nous présenter Billy Wilder et sa façon de travailler, son amitié avec son co-scénariste Iz Diamond, le traumatisme lié à la disparition de sa mère, victime de la shoah. Les personnages sont sympathiques, il y a des passages touchants, d’autres amusants et la lecture est plutôt plaisante mais clairement c’est une œuvre mineure de Jonathan Coe qui sera vite oubliée.


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  • Commentaires

    1
    Mercredi 27 Mars à 11:47
    Sacha
    Dommage, j'aime beaucoup Jonathan Coe (même s'il est irrégulier) et Billy Wilder. J'espérais que la rencontre des deux serait au top... Me voilà prévenue qu'il ne faut pas en attendre trop.
      • Mercredi 27 Mars à 13:16

        Moi aussi c'est un auteur que j'apprécie.

    2
    Mercredi 27 Mars à 12:49
    luocine

    je suis d'accord il y a des oeuvres mineures de cet écrivain dont j'ai tellement apprécié "le royaume désuni"

      • Mercredi 27 Mars à 13:18

        Mon préféré reste Testament à l'anglaise.

    3
    Mercredi 27 Mars à 13:00
    je lis je blogue

    Le livre est resté un moment sur mes étagères sans que je ne le lise. Finalement, je l'ai mis à la boîte à livres. J'ai peut-être eu tort

      • Mercredi 27 Mars à 13:15

        Le mien aussi va aller à la boîte à livres.

    4
    Jeudi 11 Avril à 07:02

    Bonjour Anne-yes, je n'ai pas trouvé que c'était une ouvre si mineure de Jonathan Coe et cela m'a donné de revoir Fedora de Billy Wilder. C'est un bel hommage au cinéma. Bonne journée.

      • Jeudi 11 Avril à 07:28

        J'ai découvert Jonathan Coe avec Testament à l'anglaise qui m'avait fait une très forte impression à l'époque. Depuis je n'ai pas été aussi conquise par un autre de ses romans.

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